Une forte pluie se déversait sur la lande. Les rochers sur lesquels avaient cpurus tellement d'animaux étaient désormais froid et glissant. Le vent et la pluie s' emblait se battre : chacun d'eux balançait toute leur puissance sur l'autre. Aucun doute, la tempête fesait rage, dehors. Seulement, on pouvait appercevoir une petit grotte reculé de la plaine, camouflée par plusieurs grands pins quk se balançaient de tout les côtés. Dans cette petite caverne, à l'abri de la tempête, gisait un petit corps faible et inerte sur le sol. C'était u  petit louveteaux, pas plus âgés qu'une marguerite venant de sortir de terre. L'animal devait avoir 2 mois. Et il était seul. Il semblait mort, perdu à jamais. Pourant, les mouvements réguliers -mais faibles- de son flanc trahissait sa présence. Le petit louveteaux était plus faible que n'importe quel nouveau née. Il -enfin, elle- avait juste assez de force pour repirer. La jeune femelle somnolait, pourtant incapable de bouger. Cela dura quelque jour, voir une semaine, avant qje ce petit corp ne bouge enfin. Ce matin là, le soleil avait vaincu la tempête. Seul les rochers encore trempé montraient que la tempête s' était déchaînée quelques jours plus tôts. Depuis, la jeune louve avait repris ses forces. Sans parents ni aucun loups avec elle, la petite était condamné à voyagé seul. Elle se leva en étirant ses muscles enkilosés. Elle se leva en s'ébrouant, chassant les parasites pris dans sa fourrure déjà blanche. Elle sortit de la caverne, observant les alentoures. Baissant le museau, elle se demanda pourquoi était-elle ici, et surtout, qui étaient ses parents pour abandonné une petite boule de poil ici, livré à elle même. elle secoua la tête. Elle aurait le temps de se poser autant de question qu'elle le voulait, après s' ête rassasié. En effet, son ventre gargouillait depuis peu. Il lui fallait se nourir. Pourtant, elle n'avait aucune notion de chasse, et s' avait à peine gambader librement. Elle sauta alors de sa grotte, sans se soucier qu'elle ne la revêrait sans doute jamais. Trotinant hors de la forêt de pins pour s' aventurer dans la la de silencieuse, elle s' arreta net. Elle n'avait rien sentit, et le gibier ne montrait pas le bojt de son  ez. Seulement, il lui fallait un nom, une identité. Elle s' assit pour réfléchir... Elle essayait de se souvenir d'avant, dans le passé, avant qu'elle se reteouve seul dans une grotte. Pourtant, rien. Aucun souvenir. Juste la vision d'elle seule sur un sol en pierre. Elle ferma ses yeux ambrés pojr les rouvrir aussi tôt. Laïra. Elle s' appelait désormais Laïra. Pas pej fier de son nouveau nom, Laïra gambada sur l'herbe courte et douce sous ses pattes. Elle essaya donc d'adopter une posture de chasse. Ne c
sachant comment s' y prendre, elle se tapit au sol, en se disant que l'instinct prendrait le dessus. Et elle avait vu juste. A peine après avoir sentit un petit campgnole, elle rampa lentement jusqu'à lui. Sûrement pas assez discrète, la proie s' enfuit dans son terrier. La femelle, nullement décourager, recommença son système. Sa première chasse commençait...

Laïra se réveilla en sursaut. Elle venait de rêver  de ses premiers jours en solitaires. Elle se dit qu'elle avait parcouru beaucoup de chemins pour arriver jusqu'à son âge actuel. Elle se dit qu'elle était beaucoup plus robuste et indépendante que les loups vivant en meute. Car oui, elle en avait déjà vu, des meutes. Mais c'était il y a bien longtemps de cela. Elle se leva en s' étirant, et bâilla longuement. Ensuite, elle partit à la chasse. Il fallait dire que sa technique était nettement meilleure que la première fois. Elle sortit donc de sous son arbre, où elle venait de dormir. Elle se tapit dans l'herbe haute. Un gros lapin bien dodu fouinait la terre. Invisible dans l'épaisse brume du petit matin, la louve avança doucement, aussi silencieuse qu'une feuille tombant au sol durant l'automne. Une fois à quelque longueur de queue de renard de sa proie, la louve attendit. Elle n'attendit pas très longtemps, car le lapin, inconscient, se rapprocha de son prédateur. Laïra bondit, et acheva le lapin d'un coup de patte dans la nuque pour la briser. Le gros corps inerte de l'animal pendait dans la gueule de son agresseur. Laïra fit vite de manger le lapin, avant de repartir. Elle ne savait pas où aller, toujours est-il qu'elle devait avancé. Elle se mit à galoper, ventre à terre, car elle aimait sentir le vent qui ébouriffait sa douce fourrure. Cela dura quelques minutes ainsi. Soudain, la louve s'arreta net, en dérapant sur un rocher. Elle huma l'air, hatelante, et ses yeux s' 'illuminèrent. Elle sentait d'autres loups, d'autes odeurs, une meute tojte entière ! Le rocher sur lequel elle était posé devait être la frontière. Elle bondit alors droit devant. Quand ses pattes foulèrent le sol inconnu, elle sû immédiatement qu'elle était arrivé chez elle. Elle ne voulait plus vivre en solitaire. Elle voulait partager ses proies, chasser en groupe, battre les ennemis en meute... Avant même de se demander si s' était juste de rejoindre une meute alors qu'elle n'était pas des leurs, Laïra se toiletta rapidement avant de prendre une direction hasardeuse sur ce nouveau territoire. Elle mourrait d'envie de recommencé une vie à zéro. Tout refaire. Être l'un des leurs. La louve ne rêvait que de cela. Néanmoins, si ils étaient trop hostiles, elle était prête à se battre !