Sujet: OVERTHROW •• Sandpaper kisses, paper cut bliss Dim 29 Déc - 17:43
RAGE & LOVE
Nom : Overthrow Surnom : Abstenez-vous Âge : Un peu moins de cinq ans Sexe : Mâle Meute : Hurricane Familles : Aucune Grade : Protecteur
Physique
Tu es bien bâti, tu le sais. Pas gros, mais pas maigre non plus, ton corps est marqué par les années de vie passées en solitaire à lutter pour ta survie. Ainsi, tout en muscles et en nerfs, son corps n'est rien de moins qu'un formidable outil forgé par les privations et les efforts successifs. Tu es fort, et plus endurant que rapide ; au trot, tu peux avaler les kilomètres sans en souffrir, tes coussinets calleux habitués à racler sur la pierre comme le verglas. Ta tête n'est ni fine ni racée, mais bien équilibrée et surmontée de deux oreilles triangulaires toujours aux aguets. Tu sais que ton regard capture l'attention : il n'est pas spectaculaire, mais il contraste par sa couleur jaune ocre. Ton poil quand à lui, est indéfinissable. Bien fourni c'est certain, il varie du noir au gris cendré selon la saison. Tu est commun et cela te convient.
Histoire
Ton passé t'appartient et tes lèvres scellées ne s'ouvrent plus sur ce qui aura pu te forger. Parfois, quand tu joues, tu inventes des histoires où tu es tantôt le héros revenu en vainqueur à son clan, tantôt le méchant banni de ses anciennes terres pour des ignominies que tu décris avec nombreux détails si la belle en réclame. Mais jamais personne n'a su où tu es né, ni les noms des membres de ta fratrie. Ils se demandent pourquoi tu es si sardonique, et pourquoi une ombre obscurcit parfois tes yeux dorés, lorsque plongé dans tes pensées, tu cesses de cracher ton venin. Ils ne savent pas ce qui t'as transformé, le poids que tu traînes derrière toi depuis de longues années. Peut-être ne le sauront-ils jamais. Et peut-être est-ce tant mieux.
Caractère
« On naît supérieur. On ne le devient pas. »
Suffisance. De ces bêtes lupines qui t’entourent et dont leurs yeux bovins reflètent la stupidité grandiloquente de leur âme. Stupides. Rendus dépendants par une vie de meute qui tue leur initiative, qui les force à baisser les oreilles et courber l’échine devant un dominant qui se croit forcément supérieur. Tu te moques de ces âmes châtiés qui, forcées à se soumettre au code strict de la vie en meute, ne vivent que pour nourrir les autres et espèrent un jour monter en grade. Pour quoi ? Ils ne le savent pas. Le pouvoir simplement. Le fait de savoir qu’un jour, un autre baissera les yeux sur leur passage. Naïveté imbécile. Alors toi tu ris sous cape, solitaire indompté que rien ne fait plier. Sous tes airs sages, ton ironie afflue telles les vagues d’une marée fougueuse et que jamais personne n’endiguera. Telle la mer, on ne peut t’enfermer, te cloîtrer dans un espace défini, cloisonné par des règles que tu méprises plus que ceux qui les appliquent. Tu fuis les responsabilités. Libre. Fier. Ton sarcasme les ébranle, eux pauvre bêtes de meutes, forcés a se taire et à se fondre dans la masse de la pensée unique. Tu es bien supérieur à eux, et tu t’en vantes.
« Clémence : élégance des tyrans pour se faire de la pub. »
En ta qualité de créature supérieure, tu trouves bien normal d’exercer ton autorité sur les espèces inférieures. Le tapis épais des loups subalternes te suffit parfaitement, et si un bêta passe a la portée de tes crocs, tu n’hésites pas à lui mâchouiller une patte ou deux Sa verve, tu t’en moques car tes mots blessent bien plus que leur répartie digne de ta personne lorsque tu avais deux lunes. Ton air narquois les exaspère, tes répliques les agace au plus haut point, et ta superbe, ton insoumission les enrage plus encore que n’importe quoi. Alors toi tu te moques encore et encore, de ces idiots qui pensent que le monde est a eux. Ce monde, il n’est rien que pour toi. Mais tu souris suavement, joue le jeu et te soumets niaisement. Ta comédie est parfois si piètre que tu crois toujours qu’ils te perceront à jour. Mais non : ces idiots croient a leur suprématie et t’ignorent, des lors que tu te places sous eux dans la hiérarchie. C’est à ce moment que tu bondis, et d’un claquement de mâchoires, réduis leur pauvre existence à néant. Comme si le fait de mourir changerait quelque chose à leur état pitoyable.
« Inconstance. Saturation chronique d'une aventure affective. »
Dérangé. C’est ainsi que parfois l’on te surnomme. Sourire aux lèvres, iris pétillants, tu les lapides une dernière fois de ta répartie endurcie et les laisse agonisants, après avoir ruiné leur vie, leurs espoirs et surtout leur ego. Le tien tu le sais, il est surdimensionné. Mais cela, tu n’en a cure. Après tout, si l’on jugeait les gens d’après leur ego, celles des dominants serait certainement bien égale a la tienne. Tu ne sais pas encore si elle te dépasserait, mais ce que tu sais, c’est que tu auras le dessus, et a chaque fois. Tu n’est pas particulièrement fort, mais ton intelligence est presque anormale, et tu sais analyser, comprendre, évaluer et conclure en moins de deux secondes. Chaque mimique est détectée, chaque variation d’un iota est enregistrée. Ainsi tu sais lorsque l’ennemi tentera d’attaquer et lorsqu’il bondis, tu as déjà amorcé l’esquive suivante. La vie est facile pour toi' et tu aimes ça. Tu as des ressources quasi infinies et tu te sens invincible ; c'est loin d’être le cas. Mais tu restes invaincu, et le rêve demeure. Et pourquoi pas, après tout ?
« Égoïstement, j'ai voulu renaître. »
Tu n'est pas vieux mais tu en a l'impression. Derrière des sourires plein de crocs se cache l'ombre du passé que tu renies depuis trop longtemps. Ton échine ploie peu à peu sous la lourdeur de la solitude que tu affectionnais tant, et qui te pèse à présent. Alors tu as fait ce pour quoi on te préméditait : tu as cédé à la folie. Et tu as intégré une meute. Les caricaturaux gentils n'étaient pas pour toi. Les autres, tu t'en fous. Et être catégorisé, stéréotypé comme un méchant n'est pas non plus pour toi. Écraser un lapin pour en faire gicler le sang et traumatiser des louveteaux est d'une connerie si monumentale que tu la laisses bien volontiers aux autres. Le «troisième choix » dont tu n'as pas encore pris la peine de retenir le nom de meute te correspondraient peut-être mieux. Ils se définissent comme indépendants mais avec un esprit d'équipe prononcé. Et c'est peut-être ce qui te manquait, au fond. Détruire les autres pour leur faire goûter à ta souffrance n'aura jamais réussi à t’apaiser. La plaie est encore là, béante, et une petite voix en toi murmure que tu as besoin des autres pour t'aider. Pas pour t'épauler. Pas pour t'aider et te consoler. Mais pour que toi tu le fasses. Pour qu'enfin, tu te sentes utile. Et vivant.
Pseudo : Necerti Âge : Oui ♀ ou ♂ ? : Non Où as-tu découvert le forum ? : Top-site As-tu lu signé le règlement ? : ha-ha As-tu recensé ton personnage dans son clan ? hou-hou Des questions ? : hi-hi /sors
Invité
Invité
Sujet: Re: OVERTHROW •• Sandpaper kisses, paper cut bliss Dim 29 Déc - 22:56