Facultatif, vous pouvez nous l'expliquer dans vos rp et journal.
Une froide d'hiver. Envelopper dans une couche de neige blanche argentée. Des empreintes ensanglantées  perlait d'un loup grisonnant. Sa fourrure était parsemé de blessures, de cicatrices, qui coulait le long de son pelage glacés. Il marchait, le vaillant guerrier, il marchait dans la neige, essayant d'échapper au  forces ennemis. Il trouva refuge dans un vieille arbre tout cabossé par la tempête de neige qui frappait. Le vent était d'une violence tellement forte qu'il glaçait le pelage du grisonnant. La neige venait s'installer au creux de ses yeux, rendant sa vue tout aussi difficile. Il entra alors dans ce trou, qui fut sa tanière. La chaleur qu'apportait son doux duvet de couchette le réchauffait peu à peu. L'intérieur était assez grand, tout juste pour accueillir une famille. Des gémissements, de petits gémissements retentir d'une femelle coucher sur le sol. Elle mettait enfin bas, enfin après temps de torture à porter toute une portées. La jeune femelle de couleur blanche tel la neige d'hiver, regarda son compagnons. Un regard désespéré luisais parmis ses deux prunelles bleus. Il avait encore été trop imprudent. Le sang qui venait perler tour à tour dans la couchette lui fondait le cœur. Même si le grisonnant se refusait de dire qu'il souffrait, il le devinait. Il allait mourir de ses blessures trop importante pour s'en sortir. Le temps lui était à présent compter, quand es ce que la mort frappera de son trépas le jeune grisonnant ? Il ne dira rien à sa compagne, ne désirant ne pas plus l'inquiéter ce qu'il leur arrivait déjà. Oui, car, comment son venu ses blessures aussi profondes soit-elles pour pouvoir aller jusqu'à sa mort ? Une haine sans doute. Une haine tellement forte, qu'elle en devient dévastatrice. Une vieille rencoeurs entre loups. Le grisonnant était une loup qui appartenait à une meute jadis. Une meute terrible baigner dans la terreur et la misère. Mais son cœur appartenu alors à une solitaire, et avide d'amour et d'aventure il osa quitter cette meute, pour fonder sa propre vie. Erreur qu'il aurait du analyser. Une meute ne laisse jamais un de ses membres partir. Et blessés, ils décidèrent de ce  faire débarrasser d'eux. Le grisonnant aurait préféré rester la bas, ne jamais avoir rencontrer la solitaire, cela n'aurait jamais causer cette chasse. Malheureusement elle était belle et bien en danger. Elle et ses enfants à présent. Une fille. Deux garçons. Comment les faire survivent, eux, qui seront chasser toute leur vie ? L'erreur était commise.

Quatre mois passérent. Le grisonnant était encore envie, l'espoir le gagnait peu à peu. Juste peu à peu. Ses blessures le faisait souffrir, mais devant ses enfants, il essayait de montrer aucune lueur d'affaiblissement. Les garçons avaient bien grandit, l'un était grisonnant, tout comme son propre père. L'autre penchait légérement vers le blanc, il sera sans aucun doute comme sa mère. Quand à la petite teigneuse, car elle l'était, son pelage penchait vers le brun. Le grisonnant reconnu sans aucun doute les couleurs de sa mère. Sa fille au nom d'Oswin, était une jeune petite effrontée, mais pas bien méchante. Elle avait hérité du fort tempérament de sa propre mère. Elle arrivait à magner ses frères comme de légères plumes. Et ses parents par la même occasion. L'ancienne meute du Grisonnant était bien au courant de la portés, mais ils ignoraient l'emplacement de leurs cachettes. Ils avaient beau vivre dans l'inquiétude, l'inquiétude qu'un jour des rondiers débarquent et les tues, ils n'étaient pas facile de vivre dans une endroit ou vivait une meute pas loin. Même leurs propres enfants tentait de jouer les aventuriers dehors. Combien de fois le grisonnant avait du aller rechercher Oswin qui avait décidé de jouer les imprudents loin de la tanière. Trop loin, trop dangereux. C'est ce que retenait la petite Oswin de la bouche de ses parents. Chaque fois que la question lui brûlait les babines, et à chaque fois qu'elle avait décidée de les bassinés avec, il répondait toujours la même chose. « Trop loin, trop loin signifie dangereux. » Toujours trop loin, et toujours trop dangereux. Pourtant, le coin commençait à devenir sévèrement dangereux. A t-elle point qu'ils n'avaient plus que le droit d'être que devant la tanière. Oswin en avait marre. Oswin voulait fuir. Oswin voulait une vie normal. Et pourtant, pauvre petite, le calvaire ne faisait que commencer. Réalisant le danger que cela devenait, le grisonnant décida de partir en éclaireur à la recherche d'une cachette parfaite. Il ignorait que derrière lui, la petite effrontée le suivait en douce. Méthode pas très utile étant donné le bruit qu'elle faisait. Quand il la trouva, il n’eut pas le choix que de la prendre avec elle. Trop loin pour qu'elle reparte seule. Et trop loin signifie dangereux. Heureuse de son aventure qui commençait, l'effrontée suivait son père en prenant cela à cœur. Une nouvelle tempête de neige sonnait le clairon.

Sonnait des nuits froides et pas facile à vivre en dehors de la tanière. Mais ils n'eut pas le temps d'y prendre goût. Deux membres de la meutes postés dans un recoin prirent le grisonnant en surprise. Il hurla à sa fille de fuir, de retourner à la tanière. Va retrouver maman . Informe la de la situation. Oswin fuit dans un buisson et ce mit à courir aussi vite qu'elle ne l'avait jamais fait. Une hurlement strident retentit loin derrière elle. La mort, le trépas. La fin d'une présence paternel. Trop loin ils avaient été. Et trop dangereux avait sonné. Elle couru, la petite effrontée, au cœur de cette immense forêt de neige. Le froid venait lui percer le poils, glacer comme il était. Le vent d'une violence lui faisait perdre l'équilibre, bien qu'elle réussit à ce stabilisé avant une chute. Elle arriva à l'arbre. Un traîner de sang conduisait dans la tanière. Elle la suivit. Grave erreur. Des cadavres. Trois cadavres. Mort dans la violence et la peur. Le visage d’effrois et de tristesse. Le sang s'évadait de leur corps, afin de se rejoindre dans une marre. La tristesse frappa Oswin. Une force vain la projeter en dehors de la tanière. Le choc contre le sol lui coupa le souffle. Elle ouvrit les yeux et découvrit avec horreurs des énormes dents pointer dans sa directions, menaçante. Elle ferma les yeux s'attendant à la violence, la peur gagnant chacun de ses membres un par un. Elle tremblota, mais rien ne se passa. Elle sentit des crocs ce refermer sur sa nuque, puis elle bougeait. Porté par un démon, par un membre de la meute. Elle regarda le paysage défiler sous ses yeux tandis qu'elle ce demandait qu'elle sort ils allaient lui réserver. Oswin vit bientôt une clairière remplis de tanière, de membres de la meute qui parlait en la regardant passer. Elle fut amenée devant un énorme mâle. Trop petite elle était, et trop petite elle se sentait. Sa compagne était aussi grande et imposante. Intelligente la petite effrontée était. Elle devina aussi facilement qu'un loupiot que c'était les dominants. Ils lui posérent des questions, Oswin ravala sa peur pour laisser place à l'effronterie. Elle les haïssaient. Et comme elle avait l'air de bien leur plaire, ils décidèrent alors de la garder contre son gré dans la meute. Depuis ce jour, elle est devenu comme une prisonnière, de son point de vue. Pourtant, trop loin elle avait été allée, et trop dangereux l'avait évitée.